La vallée de la mort

L’an dernier, nous avions fait l’impasse sur la vallée de la mort pour cause de canicule. Au mois de juin, il faisait plus de 50 degrés. Cette année, en mars, il fera bon.

Nous passons avant par le village de Nelson, abandonné à la fin des années 60

Encore une occasion de faire des photos figées dans les sixties

Et même de faire de la musique.

Sur la route, on nous rappelle qu’ici, le cannabis est maintenant autorisé.

Nous y voila.

Dés le début, nous sommes mis dans l’ambiance d’un beau parc américain.

Avec ses décors étonnants.

Assez vite, nous passons vers un cour d’eau, assez inattendu dans ce désert

Il est l’occasion pour une autre vie que celle des reptiles de s’installer ici.

Plus loin, les dunes de sable sont plus dans leur élément

Ensuite, nous commençons bien mal la visite en nous trompant de route mais finalement ce sera pour notre plus grand bonheur car nous pouvons ainsi dormir gratuit, avec vue sur la vallée.

Le lendemain, nous partons pour le canyon de Titus, impossible en camping-car, mais pour Pépère, ce sera une formalité bien sympathique.

A l’occasion d’un arrêt pour travaux, un américain prend Pépère en photo sous tous ses angles, Ils adorent tous notre Toyota avec cellule,

dans ce pays, ils ne trouvent rien d’aussi petit pour passer partout.

Avant d’arriver sur la piste, nous nous arrêtons souvent pour la vue,

parfois, on dirait de la peintures

En chemin, (c’est le cas de le dire),

nous marchons un moment autour des restes d’un ancien petit village éphémère.

Il a vécu juste quelques années, le temps d’épuiser les mines d’or découvertes ici, on ne sait trop comment.

Après 3 bonnes heures de cette jolie piste,

nous terminons par la traversée très étroite du dernier défilé

et décidons de sortir par la sierra Nevada sans oublier un dernier point de vue.

Ah, n’oublions pas de le préciser, ici, c’est top gun…

Les chasseurs nous passent juste à côté. Doreen par miracle, ne les loupe pas.

Nous voilà pour la nuit, au bord d’une saline, un peu en altitude.

Par précaution, Michel met le chauffage au Minimum.

Heureusement, au réveil, il ne fait que 0 dehors et 12 dans Pépère.

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