Montevideo

Du 10 au 15 février
Bien reposés, nous pouvons attaquer la visite de la ville. Nous constatons vite la tranquillité qu’il y règne.

Même s’ il fait un peu chaud, on y est bien.

Nous commençons par suivre les conseils de notre ami Fernando. En passant par la place de l’indépendance,

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Ou trône sur son cheval le général Artigaz, père de la nation mort en 1850.

Dessous la statue, il y a même son mausolée. Avec l’urne de ses restes.

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De cette place, part une rue piétonne pleine de vie avec des petits commerces

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Tiens, c’est quoi ces trucs

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Ce sont des maté, destinés à boire le Maté national, une herbe dégustée avec une sorte de cuillère percée dans laquelle on aspire.  Un peu partout, déambulent des personnes avec leur maté et un thermos dans les mains.c’est assez drôle

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Michel en achète un pour essayer.

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Des jeunes pas très clairs avec leurs étalages

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De jolis bâtiments

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Et d’autres qui ont dû être jolis

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Ensuite, nous passons par la place de la constitution plus généralement appelée place Matriz.

Lieux paisible où une petite vie s’ installe pour la journée

Des jeunes chantent,

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Une mamy cherche dans son sac, peut être son maté pour retrouver des forces.

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La première cathédrale de Montevideo

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-Tiens, lui, il semble que je le connais!!!

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Mais oui, c’est le curé d’ars qui est venu se perdre ici. Pour ceux qui ne connaissent pas, son « saint corp » est exposé dans son église à Ars dans l’Ain. Département où Michel à vécu son enfance. (voilà pourquoi il connait)

Michel a vu sur son super GPS (tablette androïde 8 pouces avec appli OSMAND) que l’assurance indiqué par « soif de bougeotte » n’est pas loin. Plutôt que de tout faire à la dernière minute, nous y allons.

Ça commence mal, on demande la société au concierge qui ne voit pas de qui nous voulons parler

Heureusement, soif de bougeotte avait dit de demander Fanny, ce que nous faisons.

-ah Fanny, si si !

En fait, c’est bien la.

-habla english?

-No,

-Frances?

_No

Heureusement, un suisse allemand (Thomas) est assis là, il attend ses papiers et à déjà fait toutes les demandes

Il nous briefe en 5 mn. Pas d’assurance possible pour toute l’Amérique du Sud, nous devons prendre une assurance juste pour l’Uruguay.

Il est ici depuis 5 jours à faire des démarches pour récupérer son Hummer. Espérons que ce sera plus simple pour nous.

Pour finaliser notre contrat, comme lui, nous dialoguons avec la fille sur le clavier de son ordinateur sur le site de traduction Google.

On a bien fait de passer aujourd’hui.

Nous continuons notre visite en descendant vers le Mercato du port, ici, des enfants jouent et chantent avec leur instituteur.

Nous voilà au marché du port, il a été transformé en un immense halle de restaurants. La fumée des barbecues envahit tout l’espace, toutes les tables sont prises en plein milieu de l’après midi., c’est impressionnant.

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Voilà, on a fait une belle balade, nous pouvons remonter à l’hôtel.

Encore une fois, nous passons pas loin d’un des bureaux que nous devons voir, l’agence Grimaldi qui transporte Pépère.

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Incroyable cette appli GPS gratos, à l’autre bout du monde, il nous trouve n’importe quoi n’importe où.

Alors que nous suivons le bateau sur notre tablette, nous pensions qu’il arriverait plus tôt, mais la secrétaire nous confirme son arrivée le 20 avec impossibilité de récupérer Pépère avant le lundi 23 à cause de week end

Nous ne comprenons pas car le bateau n’est vraiment pas loin et il ne peut pas mettre plus de 5- 6 jours pour arriver.

Bon, on va continent à surveiller ce bateau…

Retour à l’hôtel pour se reposer un peu et à nouveau nous redescendons vers 8h manger dans ce marché enfumé.

Quelle surprise en arrivant… Il n’y a plus personne et les portes sont fermées.

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Vraiment bizarre. Nous mangeons en bordure du marché dans un restaurant quasiment vide et, voilà une journée bien remplie

Bien remplie oui, mais on ne peut pas rester 10 jours comme ça!

Le lendemain, on essaie le bord de mer

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Il fait trop chaud et l’eau, qui reçoit celle du fleuve, est marron.

Petit passage au port de plaisance

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on remonte en ville par des petite rues sympa.

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Côté voitures, il y a un peu de tout, mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils les gardent longtemp

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Avec son tatouage, Michel se fond dans la masse car ici, du jeune au plus vieux le nombre de tatoués est incroyable, il y a des tatoueurs à chaque coins de rue, .

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Leur barbe est tatouée

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On commence à prévoir que l’attente va t être longue et que Montevideo, c’est joli, mais deux semaines. ..

la vitrine d’un loueur nous interpelle

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Nous discutons un grand moment, comme il y a un pont de 4 jours,  il a du mal à trouver une voiture., finalement il lui en reste une que nous décidons de louer.

-On s’ installe pour le contrat

-Il demande notre carte pour caution, normal!

-Il la passe sur son sabot normal!

Mais, d’un coup, Michel lui arrache la carte des mains, ah non pas ce numéro!!!

-il était en train d’écrire le code du verso

Impossible de lui faire comprendre que nous ne pouvons pas accepter

Comme il reste sur cette exigence, Michel refuse de prendre ce risque et donc la voiture

Après tous ces kilomètres à pieds, une bonne dizaine, nous avons bien mérité la piscine de l’hôtel.

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Le 13, nous retournons voir l’agence pour lui expliquer que le bateau sera sûrement là dans 2 jours, elle nous confirme à nouveau la date du 20 pour l’arrivée et le 23 pour récupèrer Pépère.

Mais qu’est ce qu’on va faire tout ce temps sans voitur

Il y a bien le musée des arts précolombiens que Michel souhaite visiter, mais après y être allé, nous sommes bien obligés de constater à quel point il est décevant.

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Alors, on s’ installe petit à petit dans une sorte de monotonie consentie en flânant dans la ville mais il vrais que dans la rue, ici, pour nous venu d’Europe, il y a toujours quelque chose qui nous étonne

Le samedi et , dimanche s’ écoulent un peu de la même manière, sauf que maintenant, nous prenons le bus pour aller un peu plus loin.

Et Dimanche, sur la plage, nous rencontrons la secrétaire de Grimaldi en plein bronzage.

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Michel lui dit que le bateau vient d’arriver dans la baie, mais rien y fait, elle nous dit avoir pris de nouveaux renseignements et le bateau n’accostera que le 21 au matin…

Depuis deux soirs, nous restons un moment avec les danseurs de tango qui se réunissent sur une petite place.

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Ils font vraiment plaisir à voir.

Voila si l’on en croit Grimaldi,  il nous reste encore 1 semaine comme ça

 

 

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