semuc champey

Après avoir laissé nos amis, nous repassons par la capitale pour remettre à niveau nos provisions et acheter un nouveau téléphone dédié à Internet. Nous avons, c’est vraiment incroyable perdu le nôtre dans nos 8 m2 …

Après une nuit sur le parking d’un petit restaurant, comme toujours bien gardés par deux hommes et leurs fusils à pompe, nous continuons en direction de Semuc Champey.

Sur la route, la population vit sa vie,

En général assez durement.

Nous traversons des paysages assez proches de chez nous et deux virages plus loin, la végétation tropicale reprend ses droits.

Nous sommes encore à 1200 mètres lorsque notre piste attaque la descente en direction des cascades.

c’est magnifique d’évoluer avec Pépère dans cette forêt.

Plus bas, le cacao pousse en liberté.

Pour le grand bonheur des petits qui peuvent gagner 3 sous. Ils savent le prix dans chaque langue. Nous avons droit de la part de ce petit à un gentil

-« 5 pour cent » soit environs 1.2 € pour 5 tout petits disques de chocolat, bien emballés dans une feuille d’aluminium.

C’est vraiment triste de voir ces gens porter de très lourds fagots de bois sur des kilomètres. Celui-ci a plus de chance, Michel décide de mettre le bonhomme et son chargement sur le capot

Alors que nous pensions l’avancer juste un peu, nous avons ainsi roulé au moins 4 Kilomètres, avec des pentes très raides à monter ou à descendre.

Il a été la vedette tout au long du trajet et surtout à l’arrivée au village.

Nous voilà  à la rivière

ici aussi on travail.

Nous sommes accueillis par une gamine pas timide du tout.

Après ce pont,

nous décidons que ce « camping » fera l’affaire. Il est plat et à côté de la rivière.

Rapidement, nous faisons la connaissance de 2 jeunes français de la drome (à côté de Saou)

Le lendemain, Michel part avec eux visiter la rivière souterraine. Les informations, que nous avions, comme quoi c’était un peu du canyoning, mais dans le noir et à la bougie, décourage Doreen.

Elle a bien fait car on nage effectivement dans le noir à la bougie, on passe quelques petites cascades toujours dans le noir etc. etc. C’était vraiment pas pour elle. Même Zora, a eu quelques moments d’angoisse, mais finalement, les 3 ont bien aimé.

Le lendemain, nous montons au point de vue d’où toutes les photos des guides touristiques sont prises.

Ça grimpe encore dur, mais dans ce pays on commence à en avoir l’habitude. A l’arrivée, nous rencontrons encore un groupe de touristes français… l’un d’entre eux est de la drome… et quoi en plus ? il a donné de cours de tango argentin à une personne que Doreen connait… C’est dingue, si ça continue, on va manger des ravioles et de la pogne…

En tout cas, le spectacle de cette eau claire dans la forêt tropicale est magique.

En bas, c’est pareil.

Là, il n’est pas possible de ne pas se baigner.

On ne s’en prive pas.

Avec compris dans le prix, les petits pédicures aquatiques qui dévorent toutes nos peaux mortes.

Au fait, dans nos rencontres, n’oublions pas le petite du fond sur cette photo.

Sa grand-mère est de Génissieux à 5 km de chez nous !!! elle voyage seule et dort dans son hamac.

Le lendemain, nous repartons Doreen, Zora et Michel devant et Maël sur le capot pour répartir les poids en vue de la montée que Pépère doit effectuer .

Oui oui, Maël, c’est bien la DDE.

Finalement, nous les laissons 60 km plus loin, nos routes se séparent, Mais Maël, soudeur, a inviter Michel chez eux pour lui apprendre les rudiments de ce métier bien utile pour bricoler.

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